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  • Vélo: et si c'était vous, le prochain vainqueur du Tour de France ?

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    Christopher Froome au sprint à l'arrivée du Tour de France à Chorges, le 14 juillet 2013. Photo AFP

    Ce soir se termine en beauté la 100ème édition du Tour de France, avec l'arrivée triomphale du peloton à Paris sur les Champs-Elysées. Chris Froome, l'extraterrestre britannique, maillot jaune de la Grande Boucle, devrait être le tranquille vainqueur de cette prestigieuse cuvée 2013. Voilà pour le vélo "champagne". Tout le monde ne pédale pas aussi vite... Pour les besogneux de la petite reine, toutes celles et ceux qui ne se déplacent qu'en deux roues, avec (et surtout sans) Paulette, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige ou qu'il fasse soleil, on en est où du vélo ?

    Vélo cours vélocité651.jpgEn hausse, le vélo !

    Bonne nouvelle : si la France n'est pas encore maillot jaune en Europe pour la pratique du vélo, cette dernière ne cesse de développer au pays de la plus célèbre épreuve cycliste au monde. En hausse, le vélo, notamment pour les déplacements utilitaires (aller au travail, à l'école ou l'université ou faire des courses). C'est ce que montre une vaste enquête publiée le 29 mai 2013 par le Club des villes et territoires cyclables, à l'occasion de son 20e Congrès.

    Près d'un Français (adulte) sur deux fait du vélo

    Réalisée à l'automne 2012 auprès de 3.945 personnes, l'enquête révèle que près d'un Français sur deux de 15 ans et plus (45,5%) est monté au moins une fois sur un vélo au cours des douze derniers mois. En 2007, selon une étude précédente, ils n'étaient que 40%. Un peu moins du quart des personnes interrogées (23,5%) déclarent avoir fait du vélo au moins quelques jours par mois, soit quelques jours par mois seulement (12,8%), quelques jours par semaine (7%) ou tous les jours ou presque (3,7%). Parmi les cyclistes les plus réguliers, c'est-à-dire ceux pratiquant le vélo quelques jours par semaine au moins, les hommes restent majoritaires (64,2%).

    train + velo.jpg14 % utilisent le vélo pour aller travailler

    Si la bicyclette reste principalement utilisée pour la balade ou le sport, l'enquête montre un usage du vélo pour des motifs utilitaires plus important que ce que qui ressort des enquêtes habituelles. 14% des personnes interrogées disent utiliser le vélo pour aller au travail, à l'école ou l'université ou faire des achats, alors que la part de déplacement en vélo ne représente que 4% en moyenne en France selon les enquêtes de déplacements des collectivités locales. Aller au travail à vélo est "une pratique qui devient significative aux côtés des transports publics", selon l'enquête. Les initiatives des différentes collectivités locales pour promouvoir le vélo en ville, comme le VCub à Bordeaux, y sont sûrement pour beaucoup. La possibilité de monter son vélo dans le train ou le tram pour aller travailler aussi. 5,3% des actifs utiliseraient en effet le vélo au moins quelques jours par semaine pour se rendre à leur travail contre 14,4% qui prennent des transports publics et près 70% leur voiture.

    Une tendance "utilitaire" qui a de l'avenir

    La pratique "utilitaire" du vélo pourrait bien se confirmer à l'avenir: 31% des sondés affirment en effet qu'ils utiliseront, "sûrement" ou "peut-être" un vélo "pour leurs déplacement habituels" dans les 2 ans. Parmi leurs motivations, pour pédaler davantage: la santé (80%) et le plaisir (65%) arrivent en tête. Mais le désir de faire des économies sur les coûts de transports est aussi évoquée par 42% des répondants...

    lebrun vélo.jpgUne indemnité pour inciter les salariés à faire leurs trajets en vélo

    Créer une "indemnité kilométrique" vélo  d'environ 20 centimes du kilomètre pour inciter les salariés à préférer la bicyclette à la voiture pour aller au travail, c'est la bonne idée idée portée par Dominique Lebrun, le Monsieur Vélo du gouvernement. Elle est débattue depuis le 3 juin dernier, dans le cadre de l'élaboration d'un nouveau "plan vélo". Le ministre des Transports Frédéric Cuvilliera a installé un comité de pilotage sur les "mobilités actives" (marche, vélo). Ce dernier sera chargé de faire des "propositions concrètes" en vue d'un "plan vélo" espéré, selon le ministère, pour "la fin de l'année". Ce comité regroupera des associations spécialisées sur le vélo, des représentants d'élus locaux, l'Etat et des parlementaires. Une telle indemnité existe déjà en Belgique. Selon l'association spécialisée belge le Gracq, cette indemnité, versée de façon volontaire par l'employeur, est défiscalisée à hauteur de 0,22 euro par kilomètre.

    Et comment choisir son vélo ?

    Ca y est, vous voilà prêts à faire le grand saut, sans même attendre le nouveau "plan vélo" ni une hypothétique indemnité kilométrique, car vous n'êtes même pas radins  : à la rentrée de septembre, tel Chris Froome, muni de vélos flambant neufs, vous allez attaquer l'asphalte. Comme quand vous étiez petits. Heu, oui. Mais, ça c'était il y longtemps... Comment tester un vélo avant de l'acheter ? Pas de panique: la revue 60 millions de consommateurs s'est penchée sur l'épineuse question en mai dernier et a publié le résultats de ses tests sur douze vélos de ville. Performances de freinage, résistance du cadre : voici les coulisses de leur banc d'essai en vidéo.

    Pédaler, c'est bon pour la santé, pour son portefeuille (on réduit son poste de dépenses en carburants) et pour la planète : on économise les énergies fossiles tout en réduisant les émissions de CO2 ! D'une pierre au moins trois coups. Et en outre, en plein dans les objectifs de la transition énergétique telle que le gouvernement veut la dessiner pour l'avenir de notre pays. Les fans de la petite reine méritent d'être chouchoutés... Et ils pourraient bien devenir les nouveaux "rois du pétrole" du XXIème siècle.

    Ah, et ce Tour de France, en 2014, ça vous dit ?

    Cathy Lafon

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  • New York a ses vélos en libre-service!

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    Une New-Yorkaise essaie un citi bike, New York, mai 2013. Photo AFP

    Ca y est ! Les New-Yorkaises vont pouvoir "se la péter" à vélo !  Après Paris, Londres, Barcelone Montréal et Bordeaux, New York a lancé le 28 mai dernier son système de vélos en libre-service : la Grosse pomme a reçu 6.000 bicyclettes bleues qui vont devoir cohabiter avec voitures et taxis dans la ville qui ne dort jamais.

    citi bike bleus 2.jpg333 stations

    Les "citi bikes" bleus sont répartis dans 333 stations de Manhattan, jusqu'à la 59e rue, et à Brooklyn. Le réseau devrait à terme s'étendre et compter 10.000 vélos et 600 stations, devenant ainsi le plus important au monde derrière la ville chinoise de Hangzhou (environ 60.000 vélos) et Paris (plus de 20.000 vélibs).

    citi bike bleus.jpgPlus de 38.000 abonnés

    Quelque 14.000 amateurs impatients avaient pris leur abonnement annuel (103 dollars) avant même le lancement qui s'est déroulé sans incident, à part un vélo volé. Ils sont aujourd'hui plus de 38.000. L'un des premiers usagers, Alex Nash, était ravi, après avoir emprunté un premier vélo dès 8 h 30, pour venir à Union Square à Manhattan. "J'ai eu un peu de mal à le remettre dans la borne, mais sinon c'est très facile", a-t-il confié à l'AFP le 28 mai, avant de repartir avec un ami sur un nouveau citi bike. Marrant : c'est, grosso modo, la même réflexion qu'on a pu entendre à Bordeaux, lors du lancement du VCub, le vélo en libre service local. Mais en Français, avec l'accent du Sud-Ouest.

    New York, ville verte

    Comme d'autres, ce jeune informaticien du Queens est bien déterminé à rouler désormais en citi bike tous les jours dans Manhattan, pour aller travailler ou pour sortir. Les citi bikes vont transformer les habitudes de circulation et le paysage urbain de la Grosse pomme. Si New York est plus écolo qu'on ne le soupçonne vu d'ici, avec ses nombreuses pistes cyclables, ses jardins urbains sur les toits des gratte-ciels, ses coulées vertes, ses nombreux jardins de poche et ses multiples projets urbains ultra écolo-ambitieux, l'installation des vélos bleus n'a pas été sans grincements de dents. Certains New-Yorkais n'appréciant guère de voir disparaître leur place de parking, d'autres dénonçant des bornes jugées inesthétiques.  Marrant  : c'est aussi, grosso modo, un des arguments qu'on a pu entendre à Bordeaux, avant l'installation des VCub... Comme quoi.

    De la Terre à la Lune, aller-retour

    Le débat a fait rage sur le risque de cette nouvelle cohabitation entre voitures et vélos, dans la mégalopole américaine, qui devient, mine de rien, de plus en plus verte. Le succès des citi bike bleus le montre : après trois semaines de lancement, ils comptent plus de 38.000 abonnés, dont beaucoup devoir encore attendre la fameuse "clé bleue" magique qui leur permettra d'utiliser ce nouveau mode de transport. Les New-Yorkais ont déjà parcouru sur leur selle la distance aller-retour de la Terre à la Lune : 766.000 km.  Et ce, en dépit des problèmes techniques qu'ils ont déplorés lors de leurs emprunts.... Marrant : c'est aussi, etc.

    BLOOMBERG.jpgPrudence !

    Le maire Michael Bloomberg, à l'initiative du projet, a reconnu qu'il faudrait "un peu de temps aux conducteurs et passants pour s'habituer à ces milliers de vélos en plus dans les rues", et a recommandé la prudence aux cyclistes.  C'est un pas de plus qu'ont franchi  les New-Yorkais vers une ville plus douce et verte. Et ce sera aussi un vrai "plus" pour les touristes, qui vont pouvoir découvrir la ville à vélo.

    New York continue sa révolution "verte"... Et si Rosanna Arquette (Roberta), cherchait aujourd'hui Madonna (Susan)  déspéremment, elle le ferait à citi bike.


    Recherche Susan désespérément - Bande annonce VO

    Cathy Lafon

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    • Comment ça marche ? Le principe est le même que dans la plupart des villes ayant adopté ces dernières années ce mode de transport: l'amateur prend un ticket à la journée, à la semaine, ou un abonnement annuel, pour des trajets gratuits limités à 30 ou 45 minutes, payants au-delà.
    • Ailleurs. De très nombreuses villes dans le monde ont adopté ces dernières années ce mode de locomotion, parmi lesquelles Paris, Montréal, Londres, Barcelone, Tel Aviv, Washington, Melbourne, Milan, Stockholm ou Séville.
    • Le VCub à Bordeaux. Le vélo en libre service est un motif légitime de fierté pour l'agglomération bordelaise, où il est de plus en plus populaire. 2,2 millions de déplacements en 2012, en hausse de 10 % par rapport à 2011 ; 15.000 abonnements  ; 6.000 emprunts par jour ; 139 stations ; 800 nouveaux vélos attendus cette année  qui vont se rajouter au parc actuel de 1.300 vélos ; une dizaine de nouvelles stations devraient également voir le jour.
  • Initiative. Popins, le parapluie des vélos, ouvre aux cyclistes un coin de paradis

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    Chanter à vélo sous la pluie à Bordeaux,  avec son Popins. Photo Sud Ouest

    Quel sera l'objet de l'année 2013 pour les cyclistes bordelais, français et européens? Pas la pince à vélo, ni le panier, ni les sacoches, ni le gilet jaune, ni le casque. Sûrement le poncho pour se protéger de la pluie, mais là, si j'ose dire, rien de nouveau sous le soleil pour ce vêtement ancestral, bien connu des fans de la petite reine mais boycotté par les élégantes pour qui le look passe avant tout.

    Langue au chat ? L'objet de l'année pour les deux-roues, c'est le porte-parapluie fixé au guidon du vélo et le parapluie qui va avec : le Popins, comme l'ont baptisé ses inventeurs, deux copains quadras,  "vélorutionnaires" et bordelais depuis dix ans. Thomas Cellier et Frédéric Neudin  ont mis un an à concrétiser leur idée et ont ensuite ouvert une boutique éponyme à Bordeaux, rue Saint-James, où ils le commercialisent depuis 2012. L'invention du siècle.

    "Ca s'appelle un Popins"

    Pour chanter sous la pluie à vélo cet hiver à Bordeaux, ce n'est pas l'occasion qui manque. C'est plutôt l'envie. On part au boulot, à la bourre comme chaque matin et au moment de donner le premier coup de pédale, on déclenche un des ces abats d'eau qui font regretter de s'être levé. On sort faire les courses à vélo, chouette une éclaircie, et on revient en poussant son deux-roues, chargée comme une mule, le parapluie ouvert à la main, en luttant contre les bourrasques de vent.

    Et le poncho ? Le capuchon s'envole, on l'a perdu dix fois et de toute façon, on ne le supporte pas : question d'esthétique, de gouttes de pluie dans les yeux qu'on a fragiles parce qu'on porte des lentilles, et en outre maquillés. Avec les lunettes, c'est pire. Bref, à tort ou a raison, le poncho, on n'en veut pas.

    popins rue st james-item-4.jpgAlors, on peste. Comme on se refuse à circuler en voiture en ville et qu'on n'a ni tram ni bus sur son chemin, on est condamnée à prendre une nième saucée ou à abandonner le vélo pour terminer la route à pied, sous son parapluie. Et puis, un jour, on remarque des nuées de cyclistes sillonnant la ville en tous sens, équipés de parapluies aux couleurs pimpantes. Rouler avec un parapluie ouvert ? Quelle folie ! On regarde mieux : ce sont des parapluies clipsés sur des porte-parapluies, eux-mêmes fixés aux vélos ! C'est quoi ça? A bout de nerf, on se renseigne auprès d'une cycliste qui enfourche allègrement son vélo muni du fameux parapluie : "Ca ? Ca s'appelle un Popins. C'est ultra-pratique et on peut s'en servir même quand il y a du vent, car les baleines sont très solides. On en trouve rue Saint-James, et en plus, ils sont très gentils. Moi, je l'ai pris blanc, parce qu'il restait que cette couleur, mais bon, j'aime bien. Pas vous ?".

    deux roue,vélo,bicyclette,parapluie,vie pratique,innovation,invention,bordeaux,porte-parapluie,popinsLe test du Popins sous la neige

    Cadeau durable de mon chéri pour la Saint-Valentin, le Popins que je lorgnais depuis, prenait la poussière dans mon couloir : évidemment, pas une goutte de pluie depuis le 14 février. Enfin, retour du mauvais temps hier matin ! Pas la pluie, non, la neige. Allez hop ! Me voilà partie pour ma première sortie à vélo genre Marie Poppins, mon parapluie orange flambant neuf grand ouvert.

    Quiche ou sèche ?

    Angoisse. Vais-je passer pour une parfaite quiche avec ce parapluie ? Va-t'il se retourner ou s'envoler? Le porte-parapluie est-il bien fixé dans le bon sens au cadre du vélo ? Vais-je arriver au boulot trempée sous les huées des collègues ? Mes craintes s'envolent au premier feu rouge. Acclamée par les éboueurs du quartier (ça fait plaisir), bien à l'abri sous mon pépin, je suis la reine du vélo et je regarde avec compassion mes congénères se mouiller, en rentrant la tête dans les épaules... Mieux, le Popins passe l'épreuve célèbre à Bordeaux du pont de pierre, balayé comme souvent par des rafales de vent (c'est ça, le vrai test) et me voici aux portes du journal, pile à l'heure. Fraîche mais sèche. Ou presque : les avants-bras et le devant de mon manteau sont humides.

    popins 'été.jpgUn coin de paradis accroché au vélo

    En résumé : le porte-parapluie Popins se fixe aisément au guidon du vélo et il ne gêne pas pour la conduite du vélo. Le  parapluie qui va avec est imperméable, solide et "anti-vent" : ses baleines en fibre de verre résistent à des vents de 30 km  heure. Par beau temps, on le range dans le fourreau fixé à la fourche de la bicyclette, fourni à cet effet avec le Popins. Pratique, élégant et poétique, il permet de traverser la ville sous la pluie, sous la neige ou sous le soleil, en chantant comme Gene Kelly, si on est un garçon, ou Mary Popins, si on est une fille. Enfin, le parapluie Popins existe en plusieurs couleurs. Le paradis, vous dis-je.
     
    Au fait, orange, c'est parce qu'il ne restait plus que cette couleur. Mais finalement, j'aime bien. Pas vous?
     
    Photos DR Popins et Sud Ouest
     
     
    TOUT SAVOIR SUR LE POPINS
    • Le site internet de Popins : cliquer ICI
    • Le porte-parapluie Popins est une nouveauté "vélorutionnaire" (son petit nom à l'INPI est le 12/1334) qui s'adapte sur tout type de cycle et accepte pratiquement tous les parapluies. On peut aussi l'utiliser sur tout objet roulant non identifié ou identifié (fauteuil roulant, poussette, chariot de facteur, caddie...), avec des vents allant jusqu'à 30 km/h.
    • Les supers parapluies anti-vent Popins sont allemands et se déclinent en 6 couleurs : noir, blanc, orange, bleu, rouge et gris. Mais le porte-parapluie fonctionne avec n'importe quel type de parapluie exceptés les petits rétractables (trop courts).
    • Environ 3.000 Popins ont déjà été vendus depuis 2012.
    • Son prix ? Officiellement je ne sais pas (c'est un cadeau...). Alors, ça reste entre nous : le porte-parapluie coûte 29,50 € et le parapluie 22 €. Tès abordable.
    • Où l'acheter ? Chez "Popins", 23, rue St James 33 000 Bordeaux,  tél. 09 52 93 42 25 -  Mail : info@popins.fr. Mais aussi, chez plusieurs revendeurs à Bordeaux et ailleurs : 60 en France et une dizaine en Europe (Berlin, Vienne, Helsinki, Anvers, Copenhague, Vevey, Lausanne,...). Pour les découvrir :  cliquer ICI
    • On peut aussi commander son Popins sur internet et le payer en ligne  : cliquer ICI
    • Deux bémols. Pour des raisons de coût, le Popins est actuellement fabriqué en Chine. Ses deux concepteurs, écolos cela va de soi, travaillent à rapatrier sa fabrication en Europe, sinon en France. Le Popins ne permet pas non plus aux vélos de s'élever dans les airs pour franchir les obstacles. Dommage. Peut-être un jour ?